Les Galopins Brédois

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Résultats et photos de La Croisière des bons vins de La Brède 2019

27 octobre 2019 par Bikila · Pas de commentaire

Un beau peloton malgré la concurrence de Bordeaux

Une 18ème édition de La Croisière des bons vins de La Brède qui s’est déroulée dans un contexte particulier avec le report des épreuves du Marathon de Bordeaux sur ce même week-end. Malgré cette forte concurrence, la participation est restée à un excellent niveau avec plus de 1100 sportifs au rendez-vous des Galopins Brèdois (362 arrivants sur le 7km, 437 sur le 18km, 242 marcheurs sur la randonnée et 110 enfants sur les courses qui leur sont réservées). La météo était favorable et les fidèles participants nous ont fait part du plaisir qu’ils avaient pris sur nos épreuves.

Victoire de Patrice Marquis en 25’05 et de Marine Etienne en 25’34 (pour la 12ème année consécutive) sur le 7km. Sur le 18km ce sont Mathieu Vandal en 1h05’21 et Lucile Marlin en 1h20’57 qui s’imposent.

Résultats du 7km de La Croisière des bons vins du 27/10/2019

Résultats du 18km de La Croisière des bons vins du 27/10/2019

Photos sur le parcours du 18km de La Croisière des bons vins 2019 (libres de droits)

Photos sur le parcours du 7km de La Croisière des bons vins 2019 (libres de droits)

Retrouvez toutes les photos du passage au Château de La Brède, des arrivées et des podiums

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Un 100km chez les Ch’tis

7 juin 2019 par Bikila · Pas de commentaire

On s’imagine déjà à l’arrivée !

Si mon CV de marathonien est lui bien solide, je reste un jeune débutant dans la catégorie de l’Ultra. Je ne vais pas ici revenir sur mes déboires gastriques qui ont coupé court à mes premières tentatives sur la distance de 100km. Cette période semble mystérieusement révolue et j’en suis vraiment soulagé.
Les années accumulées m’ont obligé à accepter le lent déclin de mes performances chronométriques et mes records personnels sur 10km, semi et marathon ne sont désormais clairement plus envisageables. Pourtant, mon âme de compétiteur reste intacte et réaliser une bonne performance reste un motif important de ma satisfaction. C’est dans cet esprit, que le projet de battre le seul Personal Best encore atteignable a vu le jour. Comme souvent dans les aventures, il faut un complice pour qu’elle devienne exaltante. Jean-No fait partie de ce cercle avec lequel il n’est pas nécessaire de négocier des heures pour s’accorder sur un nouveau défi. Nous avions tous deux l’envie de partager cet objectif et le choix de Steenwerck s’imposait malgré l’éloignement par sa réputation de parcours plat. Fort d’un record de 11h29 sur le parcours difficile de Millau, je me fixais de passer sous la barre des 11h00 ce qui correspondait aussi à l’objectif de Jean-No.

De plus, vous devez tenir compte du fait que ces appareils sont contre-indiqués avec des problèmes congénitaux du système cardiovasculaire, en particulier avec une coagulation ou une prédisposition au priapisme, une maladie qui provoque une érection durable et malade. À l’exception de ces problèmes de santé, les médecins conseillent de ne pas utiliser de pompe pour les hommes atteints de leucémie, d’anémie ou d’autres maladies du système sanguin.

L’autre côté n’est pas mal non plus !

Rapidement, ce projet est devenu le point phare de mon premier semestre 2019. Après une campagne marathons de bonne facture, je me mettais en mode escargot à l’entraînement pour engranger les km. J’entraînais ainsi Bernard, mon compère Galopins dans cet allongement des sorties presque quotidiennes.
Direction Lille, merci au TGV de mettre la capitale nordiste à seulement 4h30 de Bordeaux. Jean-No et Laurence me récupère à la gare et nous rejoignons Steenwerck pour retirer nos dossards. La salle de sports est bien animée puisque la très grande majorité des participants vont prendre le départ du soir. C’est la particularité de cette épreuve qui, fidèle à son joli slogan : « Chacun sa course, chacun son rythme, mais tous le même chemin », propose deux départs pour la distance. Un premier le mercredi soir à 19h00 avec un délai de 24h00 pour relier l’arrivée et le second le jeudi matin à 6h00 où la barrière tombe à 13h00. Jean-No et moi sommes dans la course du matin qui compte moins de 100 inscrits alors que celle du soir en compte plus de 700.
Nous assistons au départ de la course Open dans une ambiance très conviviale au son d’une fanfare qui fait danser le fameux Géant, tradition folklorique de cette région riche en carnavals. Le long ruban des courageux arpenteurs de bitume s’étale lentement sur la première boucle sous un ciel gris et menaçant. Avant de regagner la voiture, nous profitons d’un ravitaillement sauvage proposé par une habitante avec de la bière locale et des grigri apéro qui ne semblent pas séduire les concurrents qui viennent de s’élancer. Malgré notre demande, cette sympathique steenwerckoise ne s’engagera pas à être toujours présente pour la course du matin.

Reconnaissance d’un ravitaillement un peu particulier

L’ambiance du départ du matin est nettement plus calme et confidentielle. Le ciel est toujours gris mais la pluie qui a sévit cette nuit s’est désormais éloignée. Nous retrouvons Béa qui espère avoir récupéré des 6 jours de Hongrie.
Nous voilà partis sur un rythme calculé de 6’15 au km. Le circuit se compose d’un premier petit circuit bleu de 7km qui va nous permettre de traverser 2 fois le village avant de rejoindre les deux boucles (rose et jaune) qui seront à parcourir 3 fois. Le judicieux balisage se compose d’une ligne continue au sol dont la couleur est différenciée selon la boucle. Le petit peloton s’est vite étiré et j’ai plutôt l’impression d’être en queue de course. En compagnie de Jean-No et de Béa nous découvrons ces petites routes de campagne, certes charmantes, mais qui n’offrent pas un panorama mémorable. Les arrêts pipi qui ne sont pas toujours coordonnés avec mon compère nous éloignent parfois l’un de l’autre mais nous nous retrouvons aux ravitaillements où nous prenons toujours un peu de temps. Au premier retour dans la salle de sports qui est au centre des différentes boucles, la table de ravitaillement liquide est vide et une bénévole, visiblement dépassée par cette pénurie, ne nous propose que du lait. Impossible pour moi de sauter un ravitaillement sous peine d’hypothéquer la suite de l’épreuve. Nous demandons s’il est possible d’avoir juste de l’eau du robinet mais sans plus de succès. Nous sortons alors du circuit pour aller chiper de l’eau au robinet de la buvette installée au fond de la salle. Cet épisode étonnant qui nous a inquiété et un peu irrité ne sera, fort heureusement, que le seul couac dans l’organisation. Par la suite, nous profiterons largement de l’accueil des bénévoles dévoués à chaque ravitaillement avec des tables convenablement garnies. Les kilomètres passent et nous avons globalement un peu d’avance sur le plan de marche que tient scrupuleusement Jean-No. Mes sensations sont excellentes et le ciel toujours aussi gris me rassure même si le vent devient gênant par moments. Nous nous retrouvons souvent isolés et j’avoue que c’est sans doute pour moi le principal défaut de cette épreuve.

Sur la ligne de départ

Nous profitons des rares moments partagés avec d’autres coureurs pour échanger ne serait-ce que quelques mots qui nous font du bien. Nous accompagnons ainsi sur quelques centaines de mètres l’ami Jean-Michel, référence incontestable de la distance, qui fait partie de ces courageux qui sont partis la veille au soir. Nous retrouvons régulièrement un coureur adepte de la méthode « Cyrano » sous la forme 14’ de course pour 1’ de marche. Béatrice a disparu de notre groupe, j’apprendrai plus tard son abandon par suite de douleurs à l’estomac. Nous ne manquons pas d’immortaliser le passage au marathon atteint en un peu plus de 4h30. 

Un passage symbolique

Ce parcours réputé plat est toutefois émaillé de quelques ponts qui enjambent autoroute ou voie ferrée. Oh ce ne sont certes pas des montées difficiles mais je veille bien à ralentir sur ces portions que nous retrouvons à chaque nouvelle boucle. Après la mi-parcours, nous retrouvons Laurence venue nous encourager et nous proposer son assistance logistique. Pour ma part, les voyants sont au vert, je me ravitaille en sucré avec une gomme Stimium tous les 10km et en salé avec quelques Tuc et morceaux de fromage proposés aux stands. Côté liquide, je privilégie désormais l’eau gazeuse qui me permet de mieux assimiler. Les rots sonores qui suivent chaque prise de liquide sont là pour témoigner du bon fonctionnement de mon système digestif.

Nous en comptions moins que ça

C’est tout d’abord imperceptiblement que mon allure s’accélère et ensuite assez nettement après le 60ème km. Je suis vraiment très à l’aise et un peu partagé sur la stratégie à venir. D’un côté je pense qu’il sera difficile de passer sous les 11h00 en respectant l’allure prévue puisque je vois bien que les arrêts aux ravitaillements sont désormais un peu plus longs mais aussi inquiet de me griser sur ce bon passage qui pourrait n’être qu’un leurre avant le coup de mou. Un autre facteur inattendu vient perturber mon bel optimisme, le soleil a fini par percer les nuages et les premiers effets d’une chaleur toute relative sont vite perçus par mon organisme. J’ai désormais perdu Jean-No. Laurence m’apprendra qu’il rencontre des difficultés d’alimentation. Cette fois, je suis bien seul et je me dis que c’est maintenant le mental qui doit me permettre de tenir puisque le corps ne semble pas donner de signes tangibles de faiblesse.

La solitude du coureur de fond

Je suis maintenant dans la dernière boucle et un peu de lassitude s’installe. Je me focalise sur les étapes des ravitaillements qui sont à la fois un havre de rafraîchissement salvateur mais aussi un moment où la fameuse solitude du coureur de fond devient moins réelle. Après le 80ème km, une sensation de soif perpétuelle s’installe doucement. La bouche s’assèche trop rapidement après les ravitaillements et je regrette de ne pas avoir une gourde pour m’hydrater entre les points d’eau. Du coup, mon rythme s’effrite et le petit matelas d’avance si chèrement acquis fond au soleil bien installé dorénavant. Je perçois la chaleur de ses rayons sur mes épaules nues et je découvrirai plus tard que je vais pouvoir promener un beau bronzage agricole sur la plage de Carcans cet été. C’est bien complexe ce qui se passe dans la tête d’un coureur et la petite pensée que, finalement, cet objectif de passer sous les 11h00 est bien dérisoire s’est installée. Alors pourquoi ne pas profiter un peu plus longtemps de cet arrêt au ravitaillement pour m’asseoir ? Et pourquoi je ne marcherai pas un peu pour franchir ce dernier pont au-dessus de la voie du TGV ? En plus, ma montre m’affiche désormais un décalage de 2km de plus que le marquage officiel. C’est ballot, s’il ne tenait qu’à mon GPS, les 100km seraient bouclés en 10h52. C’est un truc à vous faire faire « une cahouete » (là, il n’y a que les CLM initiés qui pourront comprendre).

C’est bien ici l’arrivée ?

La dernière ligne droite est là, j’entre dans la salle où le speaker annonce que je termine 37ème en 11h06’44. Je me sens vidé, épuisé plus mentalement que physiquement. A peine assis au ravitaillement d’arrivée, je suis pourtant pris d’un brusque moment de somnolence qui m’indique que mon corps réclame du repos.
Je retrouve Jean-Michel et Béatrice mais malgré l’envie, je serai incapable de boire la bière des finishers. Jean-No terminera en marchant avec Laurence. J’ai hâte de pouvoir m’allonger et dès notre retour à l’appartement, je m’écroule sur le lit et m’endors instantanément. Ma soirée se résumera à ces endormissements successifs entrecoupés de petits moments de réveil au cours desquels il ne me sera pas possible de manger quoi que ce soit.
En résumé de ce récit bien trop long, je tire un bilan mitigé de cette course. Côté positif, le record personnel est battu, ma préparation sans plan précis a été très agréable et la récupération semble plutôt bien se passer. Du côté des moins, un peu déçu par cette épreuve que j’imaginais plus animée, la barre des 11h00 n’est pas atteinte et cette nouvelle expérience ne m’a pas motivé à poursuivre sur cette distance.

Pas tout à fait la même tête qu’au départ

Résultats du Galopin sur le 100km de Steenwerck :

Olivier Meslier se classe 37ème en 11h06’44”

 

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Run d’Or 2018 : La Croisière doublement primée !

11 février 2018 par Bikila · Pas de commentaire

Succès total pour La Croisière des Bons Vins avec ces 2 Run d’Or Courir33

La désignation des Run d’Or est désormais devenue une tradition bien installée dans le calendrier sportif girondin. Instaurée et portée par le site Courir33 de Maurice Godeaux, cette belle initiative permet aux internautes de choisir, dans chaque catégorie proposée, la personne ou la manifestation qu’ils souhaitent mettre en avant. Cette année encore, le vote a été massif avec plus de 840 000 suffrages recensés.

C’est dans la magnifique salle panoramique de Bouliac que se déroulait samedi après-midi, la cérémonie de récompenses avec Alain Létard en maître de cérémonie. La Croisière des Bons Vins étant nommée dans deux catégories, il était tout naturel que les Galopins soient présents à cette sympathique manifestation. A l’ouverture de l’enveloppe pour désigner la meilleure manifestation sur route, ce fut un grand plaisir d’entendre appeler notre Croisière face aux grosses écuries que sont le 10km des Quais de Bordeaux et le 10km de Saint-Médard. Nul doute que le nouveau parcours qui avait fait l’unanimité chez les participants, a pesé lors du vote des coureurs.

Olivier, en représentant des Galopins, reçoit ce premier trophée

A peine le temps de se remettre de cette première belle reconnaissance, et à Mireille de reposer l’appareil photo, nous voilà de nouveau appelés pour recevoir le Trophée de la Convivialité et cette fois encore face aux belles épreuves que sont La Tournée des Cuviers de Listrac et l’Authentic Barjot Trail. Une distinction qui doit beaucoup à nos partenaires viticulteurs qui participent à cette facette importante de notre manifestation tout comme la soupe de l’arrivée ou le repas d’après-course organisé par La Brède Football Club.

Très beau doublé pour La Croisière des Bons Vins

C’est donc les bras chargés que nous repartons de Bouliac avec une grande fierté de voir notre épreuve plébiscitée par les coureurs. De quoi nous donner l’énergie nécessaire à poursuivre dans cette voie et proposer une édition 2018 encore plus belle.

La photo de tous les heureux récompensés

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Championnats de Gironde de cross : 2 Galopins Charlie

17 janvier 2015 par Olivier · Pas de commentaire

 

L’équipe des vétérans de Canéjan Athlétisme

Comme chaque début d’année, les deux Galopins licenciés au club de Canéjan Athlétisme enfilent la tenue orangée pour le Championnat départemental de cross qui se déroulait cette fois à Libourne. C’est sous un beau ciel bleu que les vétérans inauguraient cette journée même si un petit vent froid n’invitait pas spécialement à la baignade dans le plan d’eau du site des Dagueys.
Le circuit de 6860m proposé ne comportait pas de grosses difficultés mais le terrain gras rendait quelques portions particulièrement glissantes.

Un passage très apprécié par ce concurrent plus à l’aise sur le goudron

Après un échauffement minimum, le départ est donné pour un peloton de moins de 200 courageux. J’ai beau m’y attendre, je suis toujours surpris par cette ruée du départ sur l’épreuve de cross tellement éloignée de mes chers marathons. Je me retrouve donc plutôt en queue du groupe mais guère inquiet de cette situation. Je trouve rapidement une allure plus rythmée qui me permet de remonter sur des concurrents et je m’aperçois que je suis en jambes. Profitant de ces bonnes sensations je poursuis mon effort au point de revenir sur des concurrents réputés plus rapides que moi. J’aperçois Xavier et, à ma grande surprise, je parviens à le doubler assez aisément.

On s’amuse à patauger ! 

Quelques portions plus glissantes viennent freiner mon bel optimisme et je joue les équilibristes sur une butte bien boueuse. Il faut dire que les crampons de mes chaussures de trail sont devenus assez inefficaces en se chargeant d’une boue bien collante. Dans la dernière boucle, la fatigue se fait sentir et j’ai le sentiment de bloquer un peu. D’ailleurs Xavier revient à ma hauteur à 500m de l’arrivée et même s’il me propose que nous finissions ensemble, je manque un peu d’énergie pour m’accrocher à sa foulée dans ce sprint final.

Après l’arrivée, nous ne prendrons pas trop de temps à deviser sur nos sensations de course afin d’être à l’heure à ce grand rendez-vous citoyen qui va envahir les rues de Bordeaux et faire vibrer nos cœurs à l’unisson. Nous sommes Charlie.

Olivier

Résultats des Galopins sur le cross de 6,9km :
Xavier Fougeron se classe 89ème en 29’05
Olivier Meslier se classe 92ème en 29’12

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Marathon de La Rochelle 2014 : Les Galopins à bon port

14 décembre 2014 par Olivier · Pas de commentaire

 

Pas très réchauffés les Galopins avant le départ

Rendez-vous incontournable des Galopins qui bouclent une saison déjà très bien remplie, le Marathon de La Rochelle a encore tenu toutes ses promesses. Une météo assez favorable avec un soleil qui est venu illuminer le parcours après un début de matinée bien frais et un vent qui s’est somme toute fait assez discret.
Les objectifs étaient divers au sein des Galopins avec au tout premier plan, Serge qui, au terme d’une saison où il a enchainé les temps records, pouvait légitimement prétendre à passer sous la barre mythique des 3h00. Du côté de Xavier, il affichait une ambition mesurée mais ses entrainements plaidaient pour un bon chrono final. Didier assurait un retour gagnant après ses nombreuses mésaventures récentes pour cause de blessures. Pour David, il s’agissait de son premier marathon sérieux et ma mission était de lui donner le tempo pour être sous les 4h00. Judith n’avait pas forcément d’objectif précis si ce n’est de concrétiser un entrainement de plus en plus intense. Rémi, désormais complètement converti  à la CLM mania avait choisi le mode déguisé en laissant Léna courir toute seule le 10km.

Arrivés dès le vendredi soir chez les amis Valérie et Frédéric, nous participons à l’épreuve du “Chauffe Gambettes” du samedi matin. Un petit tour de ville en toute décontraction avant de visiter le Marathon Expo.

Mireille aux côtés de David en reconnaissance du parcours

Après-midi à l’île de Ré où nous retrouverons les collègues de La Banque Postale et une soirée Pasta CLM pour clôturer la journée de samedi.

Dimanche matin, il y a du monde au rendez-vous sur les marches de l’Aquarium balayées par un vent glacé : Galopins et CLM se prêtent au rituel des photos avant de rejoindre les différents sas de départ. Je parviens à faire entrer David dans le départ réservé aux vieux et aux féminines. Nous franchissons très rapidement l’arche de départ et prenons d’entrée le bon rythme sans se faire bousculer. Il est très vite évident que notre allure semble facile pour David et nous avons vite en point de mire le meneur d’allure 3h45.

Course en famille pour Meslier père et fils

Pas question de s’emballer pour autant, le route est encore longue. Peu adepte de la course en peloton nous restons un peu en retrait du groupe agglutiné aux basques du meneur d’allure. Le public est chaleureux et par endroit assez nombreux comme sur la Place de Verdun où nous apercevons Mireille et Valérie dans la foule. Elles réussiront à se positionner à différents endroits pour nous encourager à plusieurs reprises. David, fidèle à son habitude, boit beaucoup et en inévitable contrepartie doit multiplier les pauses pipi. Le semi-marathon est atteint en moins d’1h52 et je fais remarquer à David que c’est le temps qu’il avait fait sur son premier semi à Lège au mois de mai. Nous retrouvons par hasard Judith qui semble particulièrement à l’aise et nous faisons un bout de route à ses côtés. Nous sommes désormais passés devant le meneur d’allure 3h45 avec un rythme très régulier de 5’15/km. Avant d’attaquer la dernière boucle, j’aperçois Serge qui en termine, il semble dans le dur avec les yeux fixés sur les chaussures. Je vois bien que le sub 3h00 ne sera pas pour aujourd’hui mais je lui crie de ne rien lâcher.   

Xavier ne se laisse pas distraire par la photographe 

Plus que 5km, David commence à piocher un peu. Les jambes se font lourdes et j’essaye de l’encourager plus fréquemment. Je m’occupe de lui remplir sa gourde et garde à la main une petite bouteille qu’il me demandera souvent. Il est désormais clair qu’il va  être bien en dessous du temps visé. Je me prépare à son accélération finale qu’il ne manque pas de lancer à l’approche de la zone pavée. Parti peut-être un peu tôt, il plafonne ce qui me permet de ne pas être distancé. Nous passons la ligne d’arrivée en 3h43 évidemment ravis et avec une grande fierté d’avoir partagé ce moment fort.

Olivier

Mais où est Rémi !  

Résultats des Galopins sur le marathon :
Serge Guillaut se classe 380ème en 3h06’31
Xavier Fougeron se classe 481ème en 3h10’29
Didier Bigot se classe 1018ème en 3h23’30
Olivier Meslier se classe 2058ème en 3h43’20
David Meslier se classe 2059ème en 3h43’21
Judith Berthelot se classe 2106ème en 3h43’48
Rémi Pallier se classe 3921ème en 4h20’16

Résultats des Galopins sur le 10km :
Léna Pallier se classe 1449ème en 1h00’41

Pari réussi pour David  

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