Les Galopins Brédois

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Ekiden de Villenave : Esprit d’équipe chez les Galopins

6 mai 2014 par Olivier · 1 commentaire

L’équipe des Filles des Galopins

L’Ekiden, vous connaissez? moi j’adore ! Cette épreuve qui se court sur la distance du marathon par équipe de 6 nous vient du Japon. Elle donne à notre passion commune une nouvelle  dimension de sport d’équipe qui bouleverse nos habitudes de coureurs solitaires. Les Galopins se sont déjà frottés avec bonheur à ce défi que ce soit à Bordeaux où nous avions établi un fameux record à 2h45’ ou encore à Périgueux.

Aussi, lorsque l’ami Thierry Pelletier et sa dynamique équipe du CA Villenave d’Ornon ont proposé ce nouveau rendez-vous, je n’ai pas hésité une seconde pour lancer l’idée de monter des équipes de Galopins. La bonne surprise a été de voir se dessiner rapidement une équipe féminine très motivée. Bizarrement, l’affaire a été plus compliquée chez les garçons mais avec des bonnes volontés venus en renfort, l’équipe s’est finalement constituée.   

L’équipe des Garçons des Galopins

Il y avait foule sur le stade Trigan en ce dimanche matin. Il faut dire qu’avec une centaine d’équipes inscrites, le succès a été total. Les premiers relayeurs s’élancent depuis la piste du stade pour une boucle de 5km sans grande difficulté. L’ambiance est chaude et les encouragements des équipiers galvanisent les coureurs. Chez les Galopins, Mireille boucle son relais en moins de 30’ alors que Youssef chez les garçons termine en 19’. C’est au tour de Nathalie et Xavier qui ont deux tours à leur programme soit 10km. Nathalie accroche un temps de 50’ et Xavier un peu plus de 40’. Le tempo est fort pour nos Galopins. Ensuite, Sylvie et Jean-Claude prennent les relais pour parcourir la boucle de 5km respectivement en 27’ et 21’. Désormais, les écarts se sont creusés et l’on assiste à une ronde ininterrompue de concurrents sur le circuit ce qui participe à donner cette ambiance bien particulière.  

Premier relais pour Mireille sur 5km

Côté filles, c’est Judith qui enchaine sur le 10km en 50’ et notre deuxième Jean-Claude chez les garçons en 42’. Là encore, l’intensité ne s’est pas relâchée et la pression monte chez les futurs relayeurs qui ne veulent pas décevoir leurs coéquipiers. Geneviève relève le défi avec un temps de 29’ sur le 5km et David signe un 22’ qui ouvre aux garçons la porte vers le sub 3h00 secrètement espéré. Il ne reste plus qu’aux derniers relayeurs qu’à parachever l’oeuvre avec une distance de 7,2km à couvrir. 

Au tour de Sylvie de s’élancer sur la piste 

A voir le visage empourpré mais radieux de Marie-Emmanuelle à l’arrivée, nul doute qu’elle a tout donné sur cette ultime étape bouclée en 35’. Tant qu’à moi, ignorant totalement la marge dont je disposais pour finir sous les 3h00, j’ai couru comme un dératé avec une performance de 29’ dont je ne me croyais pas capable. C’est ça la magie de l’Ekiden, on est plus fort en équipe.

Un grand bravo à nos représentants qui ont été exemplaires dans l’esprit et dans la performance. Mention très bien aux organisateurs et rendez-vous le 15 mars 2015 avec, je l’espère, encore plus d’équipes de Galopins.

Olivier

Passage du dernier relais entre Geneviève et Marie-Emmanuelle 

Résultats des équipes Galopins sur l’Ekiden  :
L’équipe “Les Garçons des Galopins” se classe 19ème en 2h55’38
L’équipe “Les Filles des Galopins” se classe 82ème en 3h42’00 

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100 km de Belvès : Baptême réussi pour Christophe

5 mai 2014 par Olivier · 2 commentaires

Les 3 compères CLM sont prêts pour le départ

Pour commencer, je dois dire que, même si j’ai toujours été admiratif de ceux qui se lancent ce défi, je n’ai jamais été attiré par le 100 kilomètres, qui m’est toujours apparu comme une épreuve monotone et bien trop difficile pour moi. J’avais suivi les aventures des Galopins Jean-Marc et Olivier en 2010 à Belvès et je savais donc que même bien préparé, cette épreuve n’est jamais gagnée par avance et qu’elle peut se jouer sur des détails.
C’est au fil des kilomètres accumulés au Challenge Courir Le Monde sur DailyMile qu’est née progressivement l’idée de prendre un dossard à Belvès. Depuis le marathon de Berlin, ma vitesse de base a baissé, une conséquence des nombreux et longs footings courus début 2014, finalement sans trop forcer…. De l’endurance, j’en avais donc, si bien que me sentais davantage prêt à affronter la longue distance qu’un marathon pour un chrono en ce début de saison…
Si je me sens prêt physiquement, c’est en novice que j’affronte l’épreuve : la lecture du récit de JMG, quelques discussions avec des cent-bornards et quelques conseils glanés auprès d’eux ; de plus, je suis seul : pas d’accompagnateur cycliste, je prévois donc de courir avec quelques barres et gels en poche et un bidon pour éventuellement compléter les tables de ravitaillement.
J’arrive à Belvès vendredi à 19 heures et récupère rapidement le dossard et le t-shirt fluo millésimé de cette 38è édition avant de retrouver Didier (Zeclown chez CLM) et Laurent (Robocop chez CLM) devant la halle du XVème siècle pour la fondamentale mousse d’avant-course, qui précèdera le menu sportif au Belvédère. Au cours de cette agréable soirée, nous nous fixons l’objectif de tous boucler la distance en moins de 12 heures. Si ma stratégie de course est raisonnable et similaire à celle de Laurent, celle de Didier, si elle prête à sourire, m’inquiète…
Après ce bon repas, nous passons du temps avec Didier à préparer nos affaires pour le lendemain car la météo est incertaine et, selon les conditions, il nous faudra choisir la bonne tenue au dernier moment (tenue courte ou longue, protections contre la pluie…) et prévoir d’éventuelles affaires de rechange. La nuit sera courte, environ 5 heures de sommeil. S’agissant d’une première expérience en la matière, mon objectif premier sera de terminer, c’est-à-dire de courir sans me préoccuper du chronomètre.

Les Buff  CLM sont de sortie

Samedi matin, nous regagnons Belvès une heure avant le départ. Cela nous permet de prendre un café et déposer nos affaires dans le calme et sans stress. Nous retrouvons les CLM RunninDoum et Nono83 sur la ligne de départ pour la traditionnelle photo d’avant-course. Eux aussi ont le même objectif chronométrique de 12h, donc nous allons vraisemblablement courir ensemble.
Le départ est donné à 8 heures. J’accompagne Didier sur les 300 premiers mètres et le laisse partir car il va déjà trop vite pour moi. Faut dire qu’il veut passer au marathon en moins de 4 heures ! En pleine préparation du 177 km du Trail du Morbihan, il cherche sciemment à se mettre en difficulté pour la fin de course : une façon de se mettre dans les conditions de son épreuve de fin juin !
J’attends Laurent et parcours avec lui les premiers kilomètres : un tour du village en 2 km et nous quittons Belvès par une grande descente de 1,8 km, histoire de repérer ce qu’il faudra remonter après le 98ème ! Nous partons en direction de Sarlat et je m’efforce de ne pas courir trop vite, en surveillant mon cardio. J’essaie de rester à 120 pulsations pendant les 2-3 premières heures de course. Les 4 CLM se sont regroupés. Nous faisons tantôt course commune, tantôt élastique, nos courses étant (mais je parle surtout pour moi !) rythmées par les pauses pipis que je ne sais décidément toujours pas gérer ! Approximativement, nous passons au 10ème km en 1 heure et au semi en 2h12′.
Une pluie fine nous accompagne et je commence à trouver le temps long. Les pulsations augmentent et je m’efforce maintenant de ne pas dépasser 140 pulsations. J’allume mon MP3 et discute avec les coureurs de passage pour passer le temps… Surprise, un cycliste m’interpelle et me reconnaît : il s’agit d’un ancien voisin de Podensac (33) qui accompagne un ami coureur. Musique, blabla, les kilomètres passent et paraissent moins longs ainsi !
Peu avant le marathon, je passe devant le fan club des CLM Nono et Doumé : pause bises ! Ce marathon, je l’ai trouvé long voire interminable, mais il arrive enfin à 4h29 de course. La pluie s’est calmée. Pour tuer le temps, j’envoie des SMS à mes supporters. En retour, ils m’encouragent ! Je reçois des ”GoGo Chris”, je me crois à Boston ! Le téléphone n’arrête pas de biper, cela fait rire les coureurs à mes côtés lorsque je leur fais remarquer que j’ai (moi aussi) un fan club !

Non Christophe, ce n’est pas encore l’arrivée

La mi-course est atteinte aux alentours de 5h20 de course. Là je retrouve Robocop au ravitaillement, il est lui aussi avec son fan club et j’apprends que Zeclown est passé une demi-heure plus tôt. Nous repartons tous deux ensemble cinq minutes après, le parcours se durcit avec de belles côtes (y en a une ou deux que je passerai en marchant) et surtout de belles descentes qui tapent sur les cuisses ! Au choix, je préfère les côtes !
Quelques rayons de soleil, il faut en profiter ! Au 62ème, je décide de ne pas me changer : mes affaires sont sèches, je continue comme ça !
Un nouveau regroupement CLM va s’opérer au ravitaillement du km 62. Malheureusement, Nono83, en proie à des problèmes gastriques, a dû se résoudre à renoncer. Le quatuor CLM se suit, chacun court à son rythme. Nous ne nous perdons pas de vue et nous retrouvons aux ravitaillements jusqu’aux alentours du 70ème km.
La pluie est de retour, une grosse pluie battante ! De rapides calculs dans nos têtes de moins en moins lucides nous font envisager une performance sous l’objectif visé (12h). On a même de la marge mais méfiance !
Depuis le km 65, mon téléphone portable n’a plus de batterie. J’envoie un dernier SMS pour dire à mes proches de ne pas s’inquiéter si je ne donne plus de nouvelles et dans la foulée des "GoGo Chris" en provenance du Béarn, Biscarrosse, Béziers, Grenoble, Nantes tombent à nouveau sur l’écran, ce qui me fait plaisir, mais vide définitivement les accus de mon appareil ! J’ai le temps de lire le message d’Olivier qui se trouve à Nantes : il me demande si ce ne sont pas mes batteries personnelles qui sont à plat ! Et bien non ! Tout va bien ! Je continue à courir à 140 puls en montée comme en descente (et sur le plat aussi !).
Les 4 CLM courent maintenant chacun de leur côté. RunninDoum est parti, on ne le reverra qu’à la ligne d’arrivée ! J’ai laissé Didier et Laurent vers le 85ème.

Cette fois c’est fait, Christophe signe son entrée chez les centbornards 

Que dire des derniers kilomètres ? Que la pluie s’est interrompue. Que c’était de plus en plus dur de repartir après chaque arrêt, alors que j’ai limité les pauses (surtout pipi, parce que les envies ont persisté, même après 10 heures de course !), et que j’ai même sauté le dernier ravitaillement. Que c’est dommage que ce soit dans les derniers ravitaillements qu’on propose des crêpes ou autres chouquettes car je n’ai pas osé en prendre de peur de ne pas les digérer si près du but (sur un marathon, je ne me serais pas posé la question). Que j’ai continué à courir à mon rythme jusqu’au bout, même dans la dernière côte, et que je suis fier d’avoir fait repartir près d’une dizaine de coureurs arrêtés ou en mode marche, après les avoir encouragés à m’accompagner et me suivre !
D’ailleurs, c’est avec l’un d’entre eux que je franchis la ligne, finalement en 11h38′, suivi par Didier Zeclown en 11h45′ et Laurent Robocop en 11h51′. RunninDoum est notre maître du jour. Belle gestion de course, il explose son temps référence de près d’une heure avec 11h27′. Beau tir groupé donc chez CLM, bravo à tous !
Je n’ai pas détaillé le parcours parce que JMG l’avait très bien décrit dans son récit de 2010 (Belvissimo !)… La beauté du parcours en fait oublier les difficultés et c’est pour cela aussi que malgré les caprices de la météo, j’ai apprécié cette longue course ! Cette première expérience du 100 bornes en appelle-t-elle d’autres ? Pas si sûr… A la fois, j’ai l’impression d’avoir couru "en dedans", avec de la marge pour une meilleure performance (avec un accompagnateur cycliste notamment), mais j’ai aussi l’impression que si j’avais couru plus vite, je ne serais pas allé au bout…
Je n’avais jamais couru pendant près de 12 heures et je suis fier d’avoir couru 100 kilomètres. Je ne sais pas si je recommencerai.
Comme le veut la tradition chez CLM, nous nous sommes retrouvés autour d’une bonne table pour fêter nos records personnels et mon baptême des 100, comme il se doit avec les spécialités et breuvages locaux.

Christophe

Et comme dans toutes les aventures CLM, on termine par une bière 

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Marathon des Forts du Périgord : il fallait être fort

3 mai 2014 par Olivier · 2 commentaires

Bonne ambiance avant le départ

L’annonce d’une première édition d’un marathon en région Aquitaine ne pouvait pas échapper à l’attention de Galopins naturellement avides d’en découdre sur la distance mythique. Et tant pis pour moi si le terrain de jeu proposé n’entre pas tout à fait dans ma spécialité.
C’est à l’initiative d’étudiants de l’IUT de Périgueux que cette épreuve de trail entre Bergerac et Grignols a vu le jour. Hormis le marathon en solo, une épreuve en duo, un relais à 4 ainsi qu’une course VTT étaient au programme de cette journée ensoleillée.
L’ami Tony qui avait planifié cette épreuve dans son parcours chargé vers son 100ème marathon avait finalement renoncé au déplacement. Christophe, notre Galopin béarnais, était arrivé en terre girondine la veille puisque c’est avant l’aube que nous partons de La Brède. Il nous faut rejoindre le Domaine de Chaulnes à Grignols où sera jugée l’arrivée avant de prendre la navette vers le départ situé au Parc de Pombonne à Bergerac. Sur place nous retrouvons Bertrand qui a choisi l’épreuve VTT.

Ca rigole encore, mais ce n’est que le début

Christophe, tout récemment équipé d’une caméra GoPro, s’est mué pour l’occasion en reporter et il ne manque pas d’immortaliser chaque instant de cette nouvelle aventure. Le temps de remettre symboliquement le t-shirt 50 marathons du Club CLM à l’ami Fred et c’est déjà l’heure du départ. Le début de course est plutôt facile et petit à petit mes inquiétudes par rapport à mes maigres capacités sur les côtes et le trail s’estompent. Du coup, avec Xavier nous adoptons un rythme un peu supérieur à celui envisagé initialement et Christophe reste légèrement en retrait. Certes il y a des passages bien boueux dans lesquels nous pataugeons allègrement mais rien de véritablement insurmontable. Le parcours est bien agréable même si j’avoue avoir beaucoup cherché ces fameux Forts du Périgord. Nous longeons toutefois quelques belles demeures anciennes et profitons de cette nature sauvage qui porte encore les stigmates d’un hiver bien humide. Les ravitaillements sont bien approvisionnés, on y trouve même du saucisson auquel je ne manque pas de faire honneur. Le soleil, désormais bien haut dans le ciel, a sérieusement réchauffé l’atmosphère et je commence à ressentir ses effets néfastes. Au ravitaillement du 27ème km, j’éprouve le besoin de m’attarder un peu afin de reprendre des forces pour la partie la plus difficile qui s’annonce. Je suis toujours en compagnie de Xavier qui semble assez à l’aise.

Les choses sérieuses commencent

Les côtes se succèdent désormais et je sens nettement la fatigue s’installer. Je dois même marcher sur les portions les plus pentues. J’ai trop souvent soif même après avoir bu ce qui m’inquiète un peu. J’apprécie le soutien de Xavier dans ces moments plus délicats même si au dernier ravitaillement, il m’annonce que nous allons affronter la plus grosse difficulté du parcours ce qui me démoralise un petit peu. Cette côte du 39ème est vraiment terrible, impossible pour moi de courir et même en marchant, je souffle comme un bœuf. Heureusement, l’arrivée et proche et le renfort de Christophe qui nous a rejoint pour cette dernière ligne droite me redonne de l’énergie. Nous franchissons la ligne d’arrivée tous les trois main dans la main avec une belle émotion à la clé.

Le soleil tape fort à l’approche de l’arrivée 

Pour la petite anecdote, bien que crédité du même temps que Xavier, je me verrai classé devant lui et 3ème V2, lui chipant ainsi le podium pour lequel nous ne sommes finalement pas restés. C’est allongés sur l’herbe que nous profiterons de l’assiette périgourdine et de quelques bières bien méritées.  Au final, j’avoue ne pas avoir été complètement converti  au trail par cette expérience même si cette épopée à 3 restera un très bon souvenir d’amitié. Je suis bien plus à l’aise sur les marathons traditionnels. Il est prévu que la 2ème édition se déroule sur un parcours totalement différent entre Brantôme et Bourdeilles mais je ne suis pas certain d’avoir très envie de le découvrir même si les amis du Gruppetto CLM semblaient décidés à me faire changer d’avis.

Olivier

Enfin le meilleur moment de la journée 

Cliquez ici pour découvrir la vidéo de Christophe

Résultats des Galopins sur le marathon solo  :
Christophe Véron-Durand se classe 29ème en 4h26’16
Olivier Meslier se classe 30ème en 4h26’17
Xavier Fougeron se classe 31ème en 4h26’17

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Bazas-Langon 2014 : des Galopins affûtés

2 mai 2014 par Olivier · 2 commentaires

 

Ca sent la perf chez les Galopins

Les rendez-vous traditionnels se succèdent et, après Saucats le week-end précédent, c’est du côté de Bazas que nous retrouvons un quatuor de Galopins prêt à tordre les aiguilles sur ce semi-marathon phare du Sud-Gironde. Le projet fou, un instant évoqué avec Christophe, d’un aller Langon-Bazas en “off” ayant capoté suite à l’absence de son initiateur, c’est plus sagement via les bus navettes que nous rejoignons Bazas. C’est sans surprise que nous apprenons que le départ prévu à 10h00 est finalement retardé afin d’attendre l’arrivée du dernier bus. Du grand classique pour cette épreuve! Heureusement, le beau temps est avec nous et nous profitons de ce délai supplémentaire pour aller admirer la magnifique cathédrale encore plus belle sous ce ciel bleu azur.

Un cadre majestueux pour peaufiner l’échauffement

A chaque ambition son rythme de départ et nous nous séparons pour occuper la place la plus appropriée dans le peloton de 900 coureurs qui s’impatiente sous les ordres du starter. Serge, sur sa lancée d’un début de saison tonitruant,  confirme son potentiel actuel en arrachant un nouveau record personnel sur la distance. Franck, qui ne se contente pas d’être notre lièvre à l’entrainement du dimanche matin, signe une excellente performance qui renforce notre conviction de le voir enfin se projeter vers le marathon. Xavier, toujours à l’écoute de signes précurseurs d’éventuelles blessures, assure avec prudence et se ménage pour le rendez-vous en Dordogne du dimanche suivant. Pour ma part, connaissant un peu cette épreuve avec ma 18ème participation, je gère un début de course prudent sur les premières difficultés. Puis, m’apercevant rapidement que je semble être dans un jour favorable, je vais accélérer progressivement et me prendre finalement au jeu de la performance.

Les visages dans la ligne droite d’arrivée révèlent l’intensité de l’effort

A l’arrivée, tout le monde semble très satisfait de sa course et évoque déjà avec envie les prochaines échéances.

Olivier

Ils sont bien rouges ces t-shirts 

Résultats des Galopins sur le semi-marathon (21,1km) :
Serge Guillaut se classe 47ème en 1h24’30
Franck Cervantès se classe 93ème en 1h28’51
Xavier Fougeron se classe 125ème en 1h30’43
Olivier Meslier se classe 155ème en 1h32’24

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Saucats 2014 : Une belle rentrée

1 mai 2014 par Olivier · 1 commentaire

 

Encore une belle équipe Galopins pour cette course chez nos voisins

Le mois de février annonce la reprise des courses sur route et le 10km de Saucats reste le grand rendez-vous de début de saison pour les Galopins. Cette fois encore, nous étions nombreux à profiter d’une météo enfin favorable même si la température était encore fraîche. Comme d’habitude, j’avais convaincu Xavier de faire un petit échauffement en partant de La Brède en courant pour se rendre sur la ligne de départ. Chacun a pu étalonner sa forme du moment sur ce circuit traditionnel en deux boucles. On notera l’excellent performance de Serge qui améliore son record personnel et le retour de Bernard, notre Champion du Monde de cyclocross encore bien présent dans sa catégorie.

Serge entame cette saison en grande forme

Pour ma part, il s’agissait avant tout de partager ce moment en famille. Après un premier tour au côtés de Maëlle qui s’alignait sur le 5km, je filais rejoindre David pour l’accompagner sur son premier 10km avant de retourner chercher Mireille pour sa fin de course.

Olivier

Un père ravi de partager sa passion 

Résultats des Galopins sur le 10km :
Serge Guillaut se classe 20ème en 38’03
Bernard Galissaire se classe 41ème en 40’44
Xavier Fougeron se classe 54ème en 41’23
Jean-Claude Delmas se classe 86ème en 43’47
Didier Morin se classe 103ème en 44’30
Pascal Godineau se classe 210ème en 49’06
Jean-Claude Debord se classe 244ème en 51’13
Olivier Meslier se classe 295ème en 54’20
Jean-Marc Gipoulou se classe 317ème en 56’10
Bernard Clavé se classe 318ème en 56’11
Mireille Meslier se classe 388ème en 1h06’10

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